Billet

Nos gymnases d’autrefois

Moi, le vieux Grincheux, ça me rappelle mes jeux d’enfant. Ces granges, c’était nos gymnases à l’époque où on ne savait même pas ce que signifiait ce mot. On s’y retrouvait en gang où chacun avait un rôle de héros imaginaire. On fonctionnait selon le principe du « té pas game! », cette expression étant l’élément déclencheur de toutes les prouesses et de tous les défis à relever.

Le sexe

Aujourd’hui, du moins à ce qu’on lit, il semble qu’on ne fait plus que de parler de sexe dans tous les médias écrits : journaux, revues, livres, Facebook; même les magazines de mode qui traitaient autrefois de façons de nous vêtir, maintenant ils nous enseignent la façon de nous dévêtir.

Facebook mon œil!

En tant que Vieux Grincheux, je veux vous faire part de l’amour et du plaisir débordant que j’éprouve à consulter le Facebook d’ici. D’abord, je peux connaître l’état de la circulation sur la route 393 avant de m’y aventurer, car moi j’habite sur la rive sud à Palmarolle. Je peux éviter le cauchemar de franchir les ponts, oh pardon! le pont qui m’emmènera à rejoindre la rive nord pour atteindre la métropole : La Sarre. C’est sécurisant, car tous les jours on me rassure par un message qui me dit : circulation fluide dans votre secteur. Oh!

Pause-café

Avec 152 litres chacun par an, les Québécois sont les plus grands consommateurs de café à l’extérieur de la maison au monde selon le Dr Sylvain Charlebois, coauteur du Rapport sur les prix alimentaires à la consommation. Nous sommes champions des pauses-café, de la pollution par les verres en carton, des taches sur le vêtement et des ragots colportés au coin café.