novembre 2019

Nos gymnases d’autrefois

Moi, le vieux Grincheux, ça me rappelle mes jeux d’enfant. Ces granges, c’était nos gymnases à l’époque où on ne savait même pas ce que signifiait ce mot. On s’y retrouvait en gang où chacun avait un rôle de héros imaginaire. On fonctionnait selon le principe du « té pas game! », cette expression étant l’élément déclencheur de toutes les prouesses et de tous les défis à relever.

Mon humble avis … sur la DPJ

Puis, à la fin des années soixante-dix, le Québec, société différente et novatrice, offre à ses enfants une politique familiale exceptionnelle avec la LPJ. Déjà, le Québec était à l’avant plan en matière de politiques sociales et surtout familiales. En fait, cette loi a été adoptée l’année de ma naissance pour être appliquée en 1979. Une loi qui a aussi inspiré bien des législations étrangères. Peuple québécois, soyons fiers!

PATRIMOINE 360, LE POINT SUR MA VIE

Et si demain quelqu’un était chargé de disposer de ces actifs afin de remettre les sommes dues à des héritiers? Comment procéderait-il ? Comment pourrait-il connaître l’existence de tous ces biens, de tous ces investissements, de toutes ces dettes et de tous ces actifs numériques incluant les comptes sur les réseaux sociaux et les photos?

Le Grenier aux souvenirs

Dans les années ‘50, mes parents possédaient un  genre de petit dépanneur dans le rang 4 et 5 ouest. Donc régulièrement, les  livreurs de liqueurs douces venaient chez nous et ce sont eux qui nous ont remis  ces objets publicitaires.

Souvenez vous que dans les années ’50 et ’60, les décorations ne s’installaient qu’une semaine avant Noël et que ce temps des Fêtes s’étirait jusqu’aux Rois, soit le 6 Janvier.

La directrice générale de Palmarolle est congédiée

Contactée par le Journal le Pont, la mairesse, Louisa Gobeil, n’a pas voulu commenter les raisons de ce congédiement, invoquant le fait que le litige se retrouve maintenant devant les tribunaux.

Ce congédiement  a en outre entraîné la démission de deux conseillers, soit Denise Mercier et Fernand Fillion dont on peut supposer qu’ils étaient en désaccord avec ce renvoi.

18 ans « gratis! »

C’est le 9 octobre dernier que le Journal s’est rendu à sa rencontre pour la « déranger » en après-midi, alors que pour la dix-neuvième année elle est assise derrière son comptoir de prêt de livres. Line a, bénévolement, assumé cette responsabilité pendant 18 ans sans interruption. Mais quelle motivation l’a poussée à accomplir pendant toutes ces années de façon très professionnelle cette tâche? À cette question, la réponse fut immédiate : « La passion de la lecture et des livres » a-t-elle déclaré au Journal.