Billet

Des « pyramides » découvertes en Abitibi

Les satellites ainsi que les ordinateurs qui rythmaient et contrôlaient la vie de ces derniers sont hors d’usage depuis belle lurette de sorte que ce qui reste des Humains est presque revenu à l’âge de pierre. Les connaissances du passé ayant été perdues depuis longtemps, ils se croient seuls sur la planète.

Les mots à la mode

D’abord ce mot confinement que l’on a entendu mille fois, on a fini par en apprendre de force la signification, on a appris que le fun était fini. Pas capable de sortir, d’aller au restaurant, chez le coiffeur, « aux vues ». Plus moyen d’aller fouiller chez Canadian Tire pour trouver un cossin inutile à acheter pour son garage déjà amplement garni.

Le sachesllesdés

Après avoir entendu toutes ces histoires dramatiques et bouleversantes de tous ces aînés abandonnés à leur sort, assoiffés, déshydratés et macérant dans leurs excréments, cela nous amène à penser que tous ces établissements sont des centres de « torture pour vieux ». Bien sûr, les milieux où on n’a dénombré aucun cas de la Covid-19, de décès, d’abandons et d’absence des soins de base n’ont pas fait les manchettes.

Décalisse!...

Or, depuis l’avènement de nouvelles technologies de communication, notamment le Web, Skype, Messenger, etc., il semble qu’une nouvelle institution soit née. C’est l’Académie « £ » pas pour française, mais pour Facebook.

En réponse au texte d'une enseignante sur le retour à l'école. Par Sophie Lambert

Des dîners en classe, à son bureau? Bien oui, mais pourquoi ne pourrions-nous pas en profiter pour échanger sur nos passions. Je manque parfois de temps pour échanger spontanément avec mes élèves sur leur vie et leur quotidien. Avec les événements des derniers jours, je pense que ce serait une opportunité.

Perdre un peu de liberté pour sauver une vie

L’immense majorité des citoyens s’y soumet, ayant compris qu’il en va de sa santé et peut-être de sa vie. Toutefois, il y a toujours une minorité de récalcitrants, les covidiots, ne se fiant qu’à leur nombril, qui mettent en péril la santé d’autrui. C’est à cause d’eux que les mesures se sont resserrée un peu à chaque jour.

Plaidoyer pour le Publisac

Quand la maitresse de poste y dépose du courrier, elle hisse le bidule rouge. Le vieux monsieur ne se donne pas cette peine. D’où cette demande de ma blonde à chaque semaine: « Va voir si les annonces sont arrivées. » Sitôt rentré, elle épluche méticuleusement le contenu du Publisac, en prenant des notes. Demain, ce sera la course aux spéciaux.

Pitou, loulou, minou…

Si vous ouvrez la TV, vous tomberez très souvent sur une émission traitant des pitous, des minous et d’une panoplie d’animaux les plus variés, des vedettes à quatre pattes, soit : Un zoo pas comme les autres, On s’aime en chien, Ambulance animale, Refuge animal, Les Poilus, Animania et comble de tout, Les animaux retraités. Eh oui! L’hospice, le Patrimoine pour Nelly, pour Caillette, pour Cron-Cron, le vieux cochon et pour Coquette qui ne pond plus. D’où nous vient donc, de nos jours, ce culte exagéré de l’animal?

Le péché originel

À l’évidence nous ne serions pas là pour en parler aujourd’hui. L’improbable et  mutuelle découverte de leur corps nu serait-elle la plus grande de l’Humanité?

Au début, ils étaient seuls dans ce jardin d’Éden. Ils contemplaient la nature luxuriante qui les entourait et adoraient leur Dieu les ayant créés et leur offrant tant de beauté.