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Native de St-Joseph de Kamouraska, Bernadette est arrivée à Palmarolle en 1935 à l’âge de 11 ans. Elle et son mari ont possédé l’Épicerie Aubin de 1968 à 1987, qui fut vendue à Paul Lapointe et Luc Aubin.

Madame Bernadette a encore de très bonnes facultés cognitives, vit seule dans sa maison et possède encore, jusqu’à aujourd’hui le 25 précise-t-elle, son permis de conduire. Cependant elle a avoué sourire en coin ne pas le renouveler cette année…

C’est ainsi qu’en début d’été nous récupérions les bouteilles jonchant les fossés, puis nous visitions les « dump » pour y chercher des rebus de métal et, dès l’automne venu, nous trappions le lièvre jusqu’au printemps.

La population est convoquée à l’assemblée générale extraordinaire de Journal Le Pont de Palmarolle qui aura lieu le mercredi 29 mai 2024, à 13 h 30, au Club Bon Temps de Palmarolle (115, rue Principale).

Le conseil d’administration fera le résumé des projets effectués pour l’année 2023, ainsi que les projets prévus pour 2024.

Votre présence sera appréciée pour nous aider à poursuivre notre travail de développement au sein de la municipalité.

Pierre Vachon

Président du Conseil d’administration

1. Rapport d’activités du conseil d’administration et de la présidence;
2. États financiers;
3. Trois postes en élection (personnes déjà en fonction rééligibles + 1 poste vacant);

De retour à la rue de l'Épée, j'ai appris que le triplex que j'habitais avait été vendu à trois couples. Ils occupaient déjà le rez-de-chaussée. L'année suivante, le deuxième couple allait prendre le deuxième étage et enfin le mien. Il me restait une année pour me trouver un nouveau logis. Ayant beaucoup déménagé durant mes études à Québec, tout comme à Montréal, les 8 ans au 671 rue de l'Épée m'ont donné le goût de me déposer. Avoir vu la pauvreté de près dans mon voyage, m'incita peut-être à devenir propriétaire.

La défunte a travaillé pendant plus de 20 ans au service de la Municipalité, dont près de la moitié au développement économique.

Elle ne change pas de forme, mais elle présente plusieurs faces, donc plusieurs angles, au gré de ma fantaisie. Au bord des larmes, je reprends les rames et je corrige vite la direction puis... je laisse couler. Je prends le temps qu'il faut. D'accord pour descendre au fond du puits lorsque nécessaire, voir s'il est à sec. Mais, sans la garantie de retrouver le bout de la corde permettant de remonter avant de manquer d'air, vaut mieux éviter la descente aux enfers...