décembre 2019

Feu, feu, joli feu!

Ces quatre pourraient facilement être associés aux quatre archanges de l’apocalypse, pour peu que les images de destruction par les simples éléments nous viennent à l’esprit, nous qui n’ignorons pas que les séismes violents existent, même sans les changements climatiques, phénomènes qui se font peu à peu une place dans nos consciences et qui inclinent à la révision de nos valeurs fondamentales surtout.

Le catalogue Dupuis et Frères

J’aime beaucoup feuilleter ces vieux catalogues; c’est comme un livre d’histoire. On  peut  y voir toute l’évolution d’un peuple, notamment par l’habillement, les outils, les loisirs, sans oublier les jouets.

L’histoire des frères Dupuis débute avec Nazaire Dupuis qui ouvre un petit magasin de variétés le 28 avril 1868 à Montréal. Il réussit à persuader ses frères de s’associer avec lui et Dupuis et Frères naît en 1870. 

Un immense merci à Lisette Hallé-Guertin

En outre, oh surprise! la boite contenait la plupart des parutions de 1975 à 1979 ainsi que 1991 à 1998.  Nous y apprenons que le Journal est fondé en mai 1975 sous la direction du regretté Lionel Gauthier. Ce premier numéro, anonyme, relate en long et en large cette naissance et lance un concours pour lui trouver un nom. Dès le mois suivant, la Une arbore fièrement son nouveau nom : Le Pont, proposé par Huguette Van Hove. Rappelons qu’à ce moment-là, seul les abonnés recevaient le Journal.

Baisse des taxes de 10% à Palmarolle

Suite à l’engagement pris par l’administration en février dernier lors d’une houleuse assemblée publique contestant une hausse assez marquée de la taxe foncière, la mairesse a annoncé une baisse du taux de taxation général de 10%. Ce taux passe de 1.2551$ du 100$  d’évaluation à 1.1296$.  C’est dire qu’une propriété évaluée à 200000$ voit son compte de taxe diminué de 236.71$ pour l’année fiscale 2020.

Le premier Noël du premier professeur à Palmarolle

Il faut signaler que pour faire une 8e année, il fallait auparavant avoir obtenu un diplôme de septième année. Plusieurs avaient commencé l’école à 7 ans, d’autres avaient doublé une année dans leur parcours, ce qui voulait dire que ces « jeunes hommes » pour la plupart avaient atteint l’âge de 14 et même de 15 ans. Ça prenait de la poigne et de la discipline... il fallait donc un « homme »... Une religieuse, sœur Marie-Angèle de l’Eucharistie, avait entamé l’année scolaire comme titulaire de ce groupe, mais à Noël elle avait donné sa démission.