Dernières nouvelles

Commentaire d'un lecteur

En 1960 ils étaient tous là mais on dirait qu’ils sont tous partis au vent lors de l’ouragan de juin 1963…

Par exemple, tout près d’ici, il y avait Ste-Rose de Poularies, St-Laurent de Gallichan. Ste-Claire de Colombourg, Ste-Hélène de Mancebourg, etc. Aujourd’hui, c’est Poularies, Gallichan, Colombourg, Mancebourg. Bizarrement, en Abitibi-est, presque pas de changement; les saints sont encore à l’honneur.

UN AMÉRICAIN SUR LE LAC ABITIBI

Parti de Eades, Ontario, au nord-ouest du lac le lundi 31 janvier, il a abordé le quai municipal de Palmarolle vendredi 4 février, soit cinq jours plus tard.

Dame nature n’a pas toujours contribué et a mis le courage de Marcus à rude épreuve. La journée de mardi 1e février a été particulièrement difficile physiquement. La traversée du Narrow s’est faite dans la neige aux genoux et, comme si ce n’était pas assez, il a dû lutter contre un fort vent de face toute la journée.

Les « saints lieux » au Québec

Michel Dahan, doctorant en histoire, fait remarquer que si les cartes routières du Québec ressemblent aux anciens calendriers catholiques (un saint à chaque jour), c’est à cause de l’histoire municipale. « Au Québec, les municipalités sont incorporées au 19ème siècle, à partir de 1845 », rappelle-t-il. L’Acte des municipalités, l’ancêtre direct du Code municipal, est adopté en 1855.

AU BOUT DU ROULEAU ? VRAIMENT ?

Nos contemporains connaissent une pandémie hors du commun puisque la planète entière est contrainte. Mais par le passé, à cause, entre autres, d'une méconnaissance des bienfaits de l'hygiène, la grippe espagnole, la peste et le choléra ont fait rage... Même en reconnaissant les bienfaits de l'hygiène, nous n'avons aucune garantie qu'elle suffit à éliminer la contamination.