Si on suppose que la Terre est de la grosseur d’une balle de ping-pong, il devient plus facile de se représenter à notre échelle les dimensions du système solaire, même si peu d’entre-nous ont déjà fait le tour d’une balle de ping-pong.
Dans la catégorie Critique, Francine Gauthier est finaliste avec son texte « J’attends l’autobus » ¹, alors que dans la catégorie Texte d’humeur, Jean-Pierre Robichaud est finaliste avec son texte « J’en ai marre des « experts »².
Les gagnants seront connus lors du congrès de l’Association des médias écrits communautaires du Québec qui se tiendra à Longueuil du 29 avril au 1e mai prochain.
Le dimanche 17 avril, dans un scénario sorti tout droit d’Hollywood, la troupe de l’entraineur Éric Fortin a réalisé l’impensable en surmontant un déficit de deux buts dans les 61 dernières secondes pour l’emporter 7-6 en prolongation, sur un but en or d’Olivier Ménard en échappée, aux dépens de l’équipe locale des Gladiateurs de la Baie-des-Chaleurs, en grande finale de la catégorie M15 BB, remportant de ce fait la prestigieuse Coupe Dodge.
Vous remarquerez que certaines années ou certains numéros sont manquants. Mentionnons d’abord qu’il y a eu absence de parutions de 1979 à 1991, puis de 1999 à 2002, puis certains numéros sont manquants. Ce n’est pas moins de 298 numéros mensuels du Journal Le Pont qui se retrouvent dans cette collection qui couvre en ce moment 47 années.
Il est constitué de six personnes : Marlaine Gagnon, secrétaire, Céline Gagnon, trésorière, André Chrétien, Jérôme Lebel, Manon Mercier, Jean-Pierre Robichaud et Véro Aubin, mairesse, sous la présidence de Jasmin Cameron.
Monsieur Goulet, donc élu par acclamation, a été assermenté mercredi le 13 avril dernier. Rappelons que Jeanot Goulet a déjà siégé à la table du Conseil de 2016 à 2018.
Le concept de cette Maison des Aînés demeure le même, tel qu’il a déjà été défini. Ce sera une construction sur pieux et sur un seul niveau. L’édifice comptera deux unités hébergeant douze résidents chacune. À l’extérieur, il est aussi prévu un espace pour le jardinage ainsi que deux trottoirs qui mèneront à la piste cyclable et au Domaine Paradis. Les détails seront dévoilés plus tard.
J’avais oublié le nom de son auteur, mais je n’avais jamais oublié l’effet, l’impact que ce livre a eu sur moi. Avant la lecture, je n’avais qu’une vague idée de la culture, de la nature du peuple Innu. Les deux premiers tiers du livre m’étaient donc apparus lourds, fastidieux, redondants. Je me sentais loin de chez moi, loin de mes préoccupations quotidiennes, perdue dans un monde qui m’était étranger et complètement déboussolée.
