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Rencontres familiales interculturelles à Palmarolle

L’événement était organisé par le Carrefour Jeunesse-Emploi d’Abitibi-Ouest.  Selon le directeur général du Carrefour, Sébastien Bélisle, le but de ces rencontres conviviales est de favoriser l’intégration et la rétention des nouveaux arrivants en Abitibi-Ouest en leur permettant de se créer des réseaux autres que les milieux de travail.

Échos de la Municipalité

La période de mises en candidatures se déroulera du 25 mars au 8 avril prochain et l’élection, s’il y a lieu, se tiendra le 15 mai suivant.

Par ailleurs, la directrice générale, Véronique Hince, absente du travail pour des raisons personnelles, a été remplacée de façon intérimaire par la technicienne-comptable de la Municipalité Katleen Asselin, rétroactivement au 27 janvier.

Le syndrome de la page blanche

J'ai été d'autant plus troublée, qu'on pouvait à prime abord interpréter la formule, Le Pont perd un pilier, comme l'annonce que le vrai pont de Palmarolle était menacé parce qu'un de ses piliers s'était effondré. C'était un subtil jeu de mots... Le comble, c'était que cette même formule pouvait ultimement laisser entendre que le Vieux grincheux avait, comme on dit, cassé sa pipe. Stratégie efficace pour s'assurer une lecture éditorialiste.

Hier à Palmarolle: l’abbé Éphrem Halde (1e partie)

L’abbé Ephrem Halde vient répondre. L’homme qui est là se présente comme le batelier Xavier Couillard, du canton Palmarolle. Il dit comme ça: « M. l’abbé, je m’en viens chercher le prêtre pour la femme d’Héras Richard de par chez nous. On craint qu’elle n’en ait guère pour longtemps. C’est de valeur car elle va laisser des orphelins, dont un enfant de trois jours. »

PAS ENCORE MORT?

Si ce pont a toujours tous ses piliers, il en est autrement du journal du même nom qui est, lui, passé de six piliers à cinq à cause du départ de votre journaliste, André Chrétien (et Vieux Grincheux), qui en a quitté le conseil d’administration et la rédaction.

EXPÉDITION ANNULÉE SUR LE LAC ABITIBI

Plusieurs motoneigistes aguerris et ayant une excellente connaissance du lac Abitibi déconseillent en ce moment de s’aventurer sur ce dernier, les tracés durcis étant complètement disparus sous la neige.

Il y a trois semaines, l’Américain Marcus Palazzo, en ski sur le lac, signalait une grande marre de slush devant l’entrée ouest du Narrow où il a du faire un grand détour avant de s’engager dans ce dernier. Des photos montraient l’eau envahir ses traces tout juste derrière lui.

Les abris de pêche blanche

D’abord, parlons dimensions. Je crois sincèrement que l’abri choisi devrais avoir une grandeur de 8 pieds par 8 pieds au minimum. Ces abris sont vendus afin de contenir 3 ou 4 pêcheurs. Mais n’oubliez pas que vous voulez entrer votre matériel à l’intérieur, donc plus petit que cela risque de ne pas vous laisser assez d’espace. Vous ne serez pas capable de pêcher à plus de deux ou trois adeptes avec leur matériel. Il en existe des plus grands; mais là, il faut être équipé pour les transporter.

Le Pont a besoin de relève

L’équipe qui a relancé le Journal en 2009, quoiqu’elle ait encore le goût de continuer, commence à manquer de gaz et malheureusement ne rajeuni pas non plus. Nous constations, ces dernières années, que si un des six bénévoles de Journal venait à quitter, cela remettrait en question sa survie. Eh bien ! Cela vient d’arriver. En effet, notre doyen André Chrétien prend sa retraite du Journal, à l’âge vénérable de 77 ans et après douze années de journalisme bénévole au Journal Le Pont.