Art et culture

Lecture d'un roman choisi avec soin

Le voyage se fera en douceur puisque nous tenons le volant ou les rames, sans vraiment connaître la direction où nous allons. Nous installerons le rythme qui nous convient. Nous choisirons le moment de la journée, un temps en dehors du temps où nous pourrons vivre l'histoire d'un(e) autre par procuration. On dit parfois :  J'aimerais être un petit oiseau pour être témoin de ceci ou de cela... Le roman nous donne l'occasion, la chance! de pénétrer dans l'inconnu pour apprendre, dès la première de couverture écartée.

Dessiner, c'est comparer

Je dois en premier lieu préciser la difficulté de dessiner un personnage en comparaison à un arbre ou une fleur. Un arbre avec une branche placée de travers à toujours l'air d'un arbre, tandis que le personnage avec un bras trop court ou mal placé semble déséquilibré et sa représentation nous agace. Le modèle vivant est plus intéressant qu'un arbre, une roche ou une fleur. Surtout parce que c'est plus difficile.

L’amour au Québec

Vous voulez des réponses? Lisez Histoire populaire de l’amour au Québec : de la Nouvelle-France à la Révolution tranquille, T.01 Avant 1760, de Jean-Sébastien Marsan. Ce tome 1, sans être un ouvrage scientifique, est un livre accessible à tout lecteur anxieux d’en apprendre davantage sur les coutumes et les mœurs de nos pépés et de nos mémés au temps de leurs amours.

Nobles colons

En quatrième de couverture, André mentionne ceci : « Tous les papas de mon village étaient des « colons ». Ce mot a malheureusement perdu depuis longtemps le sens et la noblesse qu’il évoquait au temps de la colonisation de notre coin de pays. »

« Pour nos pères débarqués ici entre 1920 et 1935, « colon » était un titre honorifique synonyme de courageux, brave, aventureux, même téméraire… »  André Chrétien

Le dernier sacrement

Le pauvre malade, alité, se nommait monsieur Prud’homme, personnage joué par Denis Bouchard, auteur, acteur et metteur en scène d’une pièce intitulée : Le Dernier Sacrement. Malgré cette situation triste à pleurer, nous avons beaucoup ri. Parce que le patient lui-même ne cessait de rire et de nous faire rire de son état de moribond dans l’attente du grand départ.

Descente au cœur du mâle

Tout être humain, homme ou femme, a le droit de s’exprimer sur le mouvement #MeToo. Au Téléjournal de fin de soirée du 16 septembre dernier, on a relaté le fait que depuis le début de la présente année en France, plus de cent femmes ont été assassinées par leur conjoint. Comme si ces derniers avaient droit de vie ou de mort sur leur épouse. «Elle le quitte, il la tue.»