Dernières nouvelles

Le premier Noël du premier professeur à Palmarolle

Il faut signaler que pour faire une 8e année, il fallait auparavant avoir obtenu un diplôme de septième année. Plusieurs avaient commencé l’école à 7 ans, d’autres avaient doublé une année dans leur parcours, ce qui voulait dire que ces « jeunes hommes » pour la plupart avaient atteint l’âge de 14 et même de 15 ans. Ça prenait de la poigne et de la discipline... il fallait donc un « homme »... Une religieuse, sœur Marie-Angèle de l’Eucharistie, avait entamé l’année scolaire comme titulaire de ce groupe, mais à Noël elle avait donné sa démission.

Nos gymnases d’autrefois

Moi, le vieux Grincheux, ça me rappelle mes jeux d’enfant. Ces granges, c’était nos gymnases à l’époque où on ne savait même pas ce que signifiait ce mot. On s’y retrouvait en gang où chacun avait un rôle de héros imaginaire. On fonctionnait selon le principe du « té pas game! », cette expression étant l’élément déclencheur de toutes les prouesses et de tous les défis à relever.

Mon humble avis … sur la DPJ

Puis, à la fin des années soixante-dix, le Québec, société différente et novatrice, offre à ses enfants une politique familiale exceptionnelle avec la LPJ. Déjà, le Québec était à l’avant plan en matière de politiques sociales et surtout familiales. En fait, cette loi a été adoptée l’année de ma naissance pour être appliquée en 1979. Une loi qui a aussi inspiré bien des législations étrangères. Peuple québécois, soyons fiers!

PATRIMOINE 360, LE POINT SUR MA VIE

Et si demain quelqu’un était chargé de disposer de ces actifs afin de remettre les sommes dues à des héritiers? Comment procéderait-il ? Comment pourrait-il connaître l’existence de tous ces biens, de tous ces investissements, de toutes ces dettes et de tous ces actifs numériques incluant les comptes sur les réseaux sociaux et les photos?