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26e Traversée du lac Abitibi

Le comité organisateur s’attend d’atteindre un peu plus d’une trentaine de participants d’ici le 15 février. Les aventuriers parcourront les quelque 100 kilomètres séparant Eades en Ontario de La Sarre en Abitibi-Ouest.

À la demande de plusieurs participants, le comité organisateur a, cette année, devancé l’événement d’une semaine afin de leur permettre de passer la relâche scolaire avec leur famille.

Des gîtes à Palmarolle

Or il semble qu’il y ait renaissance de l’offre d’hébergement dans notre  municipalité. En effet, Aline Bégin et Louisa Nicol, propriétaires de deux grandes maisons au cœur du village, sont à concrétiser un projet qui devrait bientôt voir le jour. Elles ont tenté depuis plusieurs mois l’expérience de location de locaux pour touristes et pour travailleurs de passage. Présentement, elles affirment qu’elles peuvent difficilement suffire à la demande. C’est avec confiance et enthousiasme qu’on les « regarde aller »...

Le péché originel

À l’évidence nous ne serions pas là pour en parler aujourd’hui. L’improbable et  mutuelle découverte de leur corps nu serait-elle la plus grande de l’Humanité?

Au début, ils étaient seuls dans ce jardin d’Éden. Ils contemplaient la nature luxuriante qui les entourait et adoraient leur Dieu les ayant créés et leur offrant tant de beauté.

Les Cadets d’Abitibi-Ouest s’entraînent au biathlon à Palmarolle

En effet, Jean-Louis Labonté a offert un espace et un camp au bout de sa terre au groupe d’une douzaine de jeunes biathloniens afin qu’ils puissent s’entraîner en prévision des compétitions régionales et provinciales à venir.

Depuis quelques années,les Cadets doivent s’entraîner sur des terrains privés. Or ce circuit, tracé et entretenu par monsieur Labonté et son fils Stéphane est un cadeau pour eux d’autant plus qu’il offre tous les niveaux de difficultés requis pour ce genre d’entrainement.

Feu, feu, joli feu!

Ces quatre pourraient facilement être associés aux quatre archanges de l’apocalypse, pour peu que les images de destruction par les simples éléments nous viennent à l’esprit, nous qui n’ignorons pas que les séismes violents existent, même sans les changements climatiques, phénomènes qui se font peu à peu une place dans nos consciences et qui inclinent à la révision de nos valeurs fondamentales surtout.