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L’Abitibi au Congrès mondial acadien

Le samedi 17 août dernier, j’ai eu l’immense honneur, accompagné de mon frère Jacques, d’ouvrir le grand Tintamarre de Shédiac, au Nouveau-Bruinswick, la bannière des Robichaud à bout de bras. Ce fut un moment unique, rempli d’émotions intenses, de précéder cette horde de quelques centaines de cousins et cousines.

Les élections, ah bon!

Nous allons tous être noyés de lecture, de paroles, de discours, de débats électoraux. On ne peut pas passer outre sans se déconnecter de tous les médias et sans se boucher les oreilles. Pas surprenant, car au Canada, 16 partis politiques se font la lutte.

Descente au cœur du mâle

Tout être humain, homme ou femme, a le droit de s’exprimer sur le mouvement #MeToo. Au Téléjournal de fin de soirée du 16 septembre dernier, on a relaté le fait que depuis le début de la présente année en France, plus de cent femmes ont été assassinées par leur conjoint. Comme si ces derniers avaient droit de vie ou de mort sur leur épouse. «Elle le quitte, il la tue.»

 

Le sexe

Aujourd’hui, du moins à ce qu’on lit, il semble qu’on ne fait plus que de parler de sexe dans tous les médias écrits : journaux, revues, livres, Facebook; même les magazines de mode qui traitaient autrefois de façons de nous vêtir, maintenant ils nous enseignent la façon de nous dévêtir.

Le pont de la route 390 se dégrade lentement

Au moment d’écrire ces lignes, Transport Québec s’affairait enfin à cimenter les trous dans la chaussée. Mais il n’y a pas que la chaussée du pont qui est fortement abimée. Force est de constater que toute la structure qui le soutient est aussi en décrépitude. Quand on navigue en ponton sous le pont, on constate de visu un effritement du ciment des piliers où on peut facilement apercevoir les tiges d’acier corrodées. En outre, en eau basse, nous pouvons remarquer une forte dégradation des bases des piliers.