Dernières nouvelles

Tasse-toé mononcle!

Ils s’apprêtent à entrer au Cégep et à l’université. Ce sont les travailleurs de demain. Ce sont aussi les dirigeants des prochaines décennies. Ils n’ont connu que le téléphone intelligent, ne regardent pas la télé et ne veulent pas d’auto. Ce sont eux qui mettront en terre, un à un,  les boomers, nés entre 1945 et 1960.

La fin des partis politiques traditionnels?

Jean-Pierre Robichaud rafle deux honneurs au congrès de l'AMECQ

Le péril jaune

Au milieu du 19e siècle, devant la croissance fulgurante de la population chinoise, les Occidentaux  craignait que ce pays les avale tous. On nous mettait en garde contre le «péril jaune». Chez-nous, dans nos campagnes, ce ne furent pas les «Peaux Jaunes» tant redoutés qui avalèrent les enfants; ce furent les autobus jaunes. Quand ils commencèrent circuler dans les rangs, la lente fermeture de ces derniers et la dévitalisation des villages étaient écrites dans le ciel. Planification et efficacité, prônaient les fonctionnaires.

Une romancière de 16 ans

Ses racines sont à Palmarolle. Elle est la petite-fille de Fernande Aubin et de Conrad Cameron, natifs tous les deux  d’ici. Éric, leur fils, est le père de cette jeune auteure, Rachel Cameron. Rachel, sa mère Johanne Pellerin, Lasarroise comme Éric, habitent à Gatineau.

Palmarolle rend hommage à son ex-maire Marcel Caron

Le tout a débuté avec quelques hommages vidéo. D’abord le député François Gendron a tenu à rappeler la collaboration et le respect qui a entouré leur relation pendant toutes ces années. Il a aussi souligné combien monsieur Caron était près de ses concitoyens et toujours soucieux de leur bien-être.

L’AMECQ réagit à la transformation de La Presse

Le journal La Presse a annoncé le 8 mai dernier son intention de se transformer en organisme  à but non lucratif.Selon le Selon le président de l’Association des médias écrits communautaires du Québec, François  Beaudreau, La Presse se déguise en Organisme à but non lucratif : «  Il faut comprendre que ce ne sera pas tout à fait un OBNL mais une fiducie avec, à la clé, un futur statut d’organisme de bienfaisance.

Wô les poules!

À la séance du Conseil municipal du 3 avril dernier, on a parlé de poules. Mais non, on n’a pas caqueté ni jacassé ni gloussé, mais on a discuté de la pertinence de changer un règlement interdisant « l’aviculture » dans les limites du village. En mots plus sérieux, cela se traduirait par une remise en question de l’interdiction de posséder des poules dans cet espace urbain.