Dernières nouvelles

Entretien de fin de saison

Premièrement, il est primordial de changer l’huile engrenage comprit dans le pied de votre moteur hors-bord. Effectivement, si jamais de l’eau s’y était infiltré, le risque de gel pourrait malencontreusement faire fendre ce dernier. En prenant cette précaution, vous vidangerez l’eau en même temps que l’huile et y replacerez seulement de l’huile.

CLSC : encore à Palmarolle pour au moins 2 ans?

Depuis la fermeture du Foyer Mgr Halde pour cause de défaillances structurelles en juin dernier, le CLSC a emménagé temporairement dans les locaux de la salle de l’Âge d’Or. Voilà qu’on apprend que ce dernier pourrait à nouveau déménager vers la fin novembre, cette fois à la salle municipale dans la partie avant donnant sur la rue principale. Rien n’est encore confirmé au moment d’écrire ces lignes, la Municipalité devant d’abord approuver les plans du nouveau local ainsi que les termes du contrat.

Les marionnettes du ciel

Eh bien! ces curieux volatiles ce sont des paramotoristes et, comme leur nom l’indique, ce sont des adeptes d’un sport où l’on utilise un paramoteur pour voler et se mouvoir dans le ciel. Dérivé d’un sport appelé parapente où l’on se lançait du haut d’une falaise en se laissant porter par le vent et les courants d’air, on a ajouté à cette grande voilure un moteur, muni d’une hélice, que la personne porte sur son dos, ce qui lui procure une totale autonomie pour décoller, pour voler, pour se mouvoir dans les airs et atterrir à volonté.

Tasse-toé mononcle!

Ils s’apprêtent à entrer au Cégep et à l’université. Ce sont les travailleurs de demain. Ce sont aussi les dirigeants des prochaines décennies. Ils n’ont connu que le téléphone intelligent, ne regardent pas la télé et ne veulent pas d’auto. Ce sont eux qui mettront en terre, un à un,  les boomers, nés entre 1945 et 1960.

La fin des partis politiques traditionnels?

Jean-Pierre Robichaud rafle deux honneurs au congrès de l'AMECQ

Le péril jaune

Au milieu du 19e siècle, devant la croissance fulgurante de la population chinoise, les Occidentaux  craignait que ce pays les avale tous. On nous mettait en garde contre le «péril jaune». Chez-nous, dans nos campagnes, ce ne furent pas les «Peaux Jaunes» tant redoutés qui avalèrent les enfants; ce furent les autobus jaunes. Quand ils commencèrent circuler dans les rangs, la lente fermeture de ces derniers et la dévitalisation des villages étaient écrites dans le ciel. Planification et efficacité, prônaient les fonctionnaires.