Dans certain cas le contenant devenait le cadeau : rappelez-vous le jeu de quilles que je vous ai déjà présenté. L’apogée de ces surprises « cadeau » fut les années ‘60.
Ce mois-ci je vous présente ceux que je possède, également ceux qui étaient dans les contenants. Il y en a eu tellement qu’il était impossible de tous les acheter.
Description :
Le candidat ou la candidate aura, une fois par mois, à rédiger de courts textes rendant compte de l’actualité locale. Les textes seront acheminés au rédacteur en chef du Journal Le Pont.
Le poste sera rémunéré au prorata des textes qui seront envoyés mensuellement au Journal.
Pour postuler : administration@journallepont.ca ou à Jean-Pierre Robichaud au 819-339-4255
Le beau temps et la chaleur était au rendez-vous. En après-midi, de nombreux citoyens et leurs enfants ont pu profiter des jeux gonflables et de la mini ferme. Également, pour une deuxième année des équipes ont participé aux jeux Redneck.
D'abord les petites fraises des champs puis, avant qu'elles ne disparaissent, les amélanches sont déjà là que suivent de près les framboises, les bleuets, les gadelles, le cassis, les groseilles, les pommettes et les prunes. Tous des incontournables pour lesquels on abandonne les jardins au profit du palais des délices... ou ne serait-ce pas plutôt les délices du palais? Rien ne surpasse en qualité ce divin prêt à manger et c'est pourquoi on balaie tout le reste du revers de la main pour faire de la cueillette en nature notre priorité.
Le but est de connecter à la haute vitesse internet tous les citoyens où qu’ils soient. Seront également disponibles des forfaits télé.
Le dimanche 11 juillet suivant, le curé fait appel à la coopération de ses paroissiens pour nettoyer l’emplacement de l’église et du presbytère futurs. Le pasteur ne perd pas de temps. Généreuses, ses ouailles répondent à son appel. Le samedi 16 juillet, l’abbé Halde célèbre la messe et, fait nouveau dans le canton, consacre des hosties pour le lendemain. Ce geste inaugure la présence permanente de Jésus-Eucharistie au milieu de la population de Palmarolle.
Comme d’habitude, ma mère avait fait tinter la cloche près du poêle à trois reprises pour me sortir enfin du lit. Mes frères et sœurs étaient déjà en route sous un crachin automnal.