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Maison des Aînés : le projet est toujours en vie

La pandémie, l’inflation des matériaux de construction ainsi que la rareté des constructeurs pour ce type de bâtiment ont fait en sorte que les deux soumissions déposées en 2022 dépassaient largement le montant débloqué par le Conseil du Trésor.

En conséquence, le Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) a convenu de retourner à la table à dessin afin de revoir le concept.

Essai pour un passage réussi à 2023

Sans exagération, certains ont attendu 36 heures pour retrouver l'usage du courant. Personne n'est à blâmer dans cet exercice qui nous renvoie face à nous-mêmes, en quête d'idées pour combler le vide qui s'immisce dans nos vies... nous rappelant à quel point nous sommes vulnérables, ficelés à nos confortables habitudes.

Tant de progrès… et pas de dettes ! (1e partie)

À leur assemblée du 27 février 1927, les marguilliers de Palmarolle décident donc de bâtir un presbytère. Ils prient l’autorité diocésaine d’autoriser du même coup la dépense de $4,000 en deux ans et un emprunt de $500. Une souscription, qui a rapporté $1,000, et les recettes des deux premières années permettent de lancer l’entreprise sans un emprunt plus élevé. L’autorisation de l’évêque ne tarde pas.

Décorations d’arbre de Noël

Pour être dans l’ambiance, j’ai sorti des articles de décorations d’arbre de Noël qui appartenaient à ma mère. Ces décorations datent des années ‘50 et ‘60.

Je n’aime pas prendre une photo groupée mais je n’ai pas le choix. Ça donne une vue d’ensemble quand j’ai plusieurs items sur le même sujet. Si vous allez sur ma page Facebook, tout est plus clair et en couleur.

LUCETTE

Le 30 septembre dernier, la première Journée de la Culture m’a donné l’occasion de me souvenir de Juliette Marchildon et de son époux François Fortier. Leur ferme était située à l’est de la nôtre, dans le tournant de la rivière, là où j’ai pêché mon crapet-soleil. 

Une messe enflammée!

Comme la majorité des hommes de la paroisse appartenaient au mouvement catholique de la Ligue du Sacré-Cœur, ils avaient fait, lors de leur initiation, la promesse de ne jamais profaner le nom de Dieu et des objets liés à son culte. Ils s’étaient donc trouvé un substitut aux jurons à la mode tels : crisse, ciboire, câlisse, etc. Notre héros d’aujourd’hui avait donc adopté comme « patois » l’expression beu-noir, pour d’autres c’était : joual vert, torrieu, gériboire, etc.