Le pont de la route 390 se dégrade lentement

Au moment d’écrire ces lignes, Transport Québec s’affairait enfin à cimenter les trous dans la chaussée. Mais il n’y a pas que la chaussée du pont qui est fortement abimée. Force est de constater que toute la structure qui le soutient est aussi en décrépitude. Quand on navigue en ponton sous le pont, on constate de visu un effritement du ciment des piliers où on peut facilement apercevoir les tiges d’acier corrodées. En outre, en eau basse, nous pouvons remarquer une forte dégradation des bases des piliers.

Quel été nous avons eu!

Pour une fois, jamais entendu quelqu’un se plaindre de l’été abitibien. Que des sourires éclatants et des corps bronzés. Jamais vu non plus autant de plaisanciers sur la Dagenais et le lac Abitibi. Et les plages du lac étaient bondées, même les jours de semaine.

J’appelle ça un été tro-pi-cal : chaleur en continu, journées maussades rarissimes, pluies bénéfiques en fin de journée ou la nuit, enfin un été comme on les aime. Et si la tendance se maintien, un septembre doux sera au rendez-vous.

Pourquoi pas faire changement?

Dans cette chronique je veux plus précisément vous entretenir du touladi, mieux connu sous le nom de truite grise. Cette espèce vit dans les lacs profonds, bien oxygénés et limpides. Plusieurs endroits sont très accessibles et offrent une bonne qualité de pêche. Malgré que la pêche au touladi puisse sembler différente de la pêche au doré, dans les faits, on peut le pêcher avec des techniques très usuelles : on pense souvent à des techniques de pêche telles l’utilisation des downriggers.

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