Le pont édition septembre
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Ce serait avec joie que je vous conseillerais sur le choix que vous ferez le 20 septembre prochain, mais j’en suis incapable, puisque moi-même j’ignore encore la case dans laquelle j’apposerai mon X. Nous sommes en présence de cinq chefs, dont l’un n’est que 1/10e de chef et l’autre une moribonde au teint verdâtre tant elle est faible.
J'attends l'autobus est le titre d'un roman écrit par un p'tit gars de chez nous, livre qui vient d'être publié en 2021. Je dis bien un p'tit gars de chez nous, pas si p'tit que ça, parce qu'il défend bec et ongles sa région avec, ma foi, des arguments qui sonnent vrai. Son langage nous rejoint parce que c'est à nous qu'il s'adresse vraiment. C'est Alexandre Castonguay.
Pour une municipalité rurale, on peut dire que l’activité économique, la culture, les loisirs et les sports sont bien implantés à Palmarolle et rayonnent au plan local, mais beaucoup à l’échelle régionale, provinciale et même nationale.
Eh bien! Permettez-moi, chers lecteurs, qu’on vous épate de nouveau en vous parlant aujourd’hui de paléontologie... Certains demanderont peut-être : « Ok, mais elle est où l’usine, la shop, qu’est-ce qu’on fabrique là-dedans? »
Voici deux cadenas qui ont un petit quelque chose de particulier. Le premier, un Yale, est fabriqué par Yale & Towne Mfg.Co. en 1851 à Stamford Connecticut, USA. Les fondateurs sont Linus Yale et Henry Towne. La date de fabrication du cadenas que je vous présente est 1901, et sa particularité est le mécanisme. Pour l’ouvrir après avoir inséré la clé, il faut pousser sur celle-ci et la tourner. C’est un mécanisme un peu spécial et très rare.
Force est d'admettre que les mesures d'hygiène de l'époque n'avaient rien à voir avec celles d'aujourd'hui. Bien sûr, les avancées technologiques nous servent, mais sommes-nous plus zen pour autant? Nous accordons-nous le luxe de réfléchir à l'avenir que nous souhaitons connaître?
Les monstrueux retards accumulés dans le traitement des dossiers d’immigration, doublés d’une dispute fédérale-provinciale sur l’admission des immigrants au Québec, ont plombé les plans de ce jeune couple qui souhaitait faire sa vie en Abitibi-Ouest.
Les événements se seraient déroulés vers 1924-25. Les circonstances de sa mort n’ont jamais été élucidées même si certains prétendaient qu’il était en boisson au moment de l’accident.
Toujours est-il que le Polonais revient avertir Clodimir St-James de la noyade de son frère. Ils réussissent à le récupérer et le couchent sur la grève devant le campement de Clodimir.