Dernières nouvelles

Une messe enflammée!

Comme la majorité des hommes de la paroisse appartenaient au mouvement catholique de la Ligue du Sacré-Cœur, ils avaient fait, lors de leur initiation, la promesse de ne jamais profaner le nom de Dieu et des objets liés à son culte. Ils s’étaient donc trouvé un substitut aux jurons à la mode tels : crisse, ciboire, câlisse, etc. Notre héros d’aujourd’hui avait donc adopté comme « patois » l’expression beu-noir, pour d’autres c’était : joual vert, torrieu, gériboire, etc.

Êtes-vous prêt pour la pêche blanche ?

Premièrement, faites en sorte de ne rien oublier. Personnellement, je dresse toujours une liste de mon matériel. En fait je m’imagine à ma première sortie de pêche en prenant soins de penser à chaque étape dans l’installation de ma journée. Donc, il ne faut pas oublier les cannes, les leurres, les brimballes, les menés, l’abri portatif, la cuillère à glace, la perceuse, le sonar, une paire de pince, etc.

Un Beauportois de 70 ans a pédalé l’Abitibi l’été dernier

Adepte du vélo-tourisme depuis 2003, Fernand n’était jamais allé plus loin qu’environ 120 kilomètres de rayon autour de chez-lui. Maintenant à la retraite et projetant sortir de sa zone de confort tout en évitant les régions envahies par les touriste en été tels la Gaspésie et la Côte-Nord, l’idée lui vint de mettre le cap sur l’Abitibi. Un défi de taille quand on pense à la grande barrière de forêt de la réserve faunique Lavérendrye.

25e anniversaire du Conseil 12007 des Chevaliers de Colomb de Palmarolle

Par la même occasion, le Conseil a rendu un hommage très senti au couple Roger Cameron et Jeannine Brisson pour les nombreuses années à gérer le Comptoir familial dont ils tiennent les rênes encore aujourd’hui.

Le directeur régional des Chevaliers, Georges Villemure, était sur place pour remettre une plaque soulignant ce 25e anniversaire. En outre, le Chevalier suprême, Patrick E. Kelly, de New Haven, Connecticut, a aussi envoyé un certificat marquant l’événement.

10 000 $ en dons pour les sinistrés du 4 juillet dernier à Palmarolle

Les sinistrés présents étaient la famille Karan, la famille Joël Veillette, sa conjointe Sabrina et leur fils Louan ainsi que Lorraine Parent. Vincent Boissonneault était toutefois absent, retenu par son travail.

C’est avec des émotions encore vives que les propriétaires de la Quincaillerie Palmarolle, Cindy Caron et Raphaël D’Amours, ont d’abord relaté les heures et les jours qui ont suivi le sinistre. Ce fut un difficile deuil autant pour les sinistrés que pour l’équipe de la Quincaillerie.

La puissance des mots

Il se pourrait qu'il ait raison... si tant est que sa pensée est claire et précise et qu'il trouve les bons mots pour l'exprimer... les bons mots, le bon ton, la bonne attitude, le bon moment, le bon éclairage, la bonne personne, les bonnes dispositions de part et d'autre... Ça n'a pas de fin. De toutes ces conditions dépend l'ouverture de l'interlocuteur à qui l'on s'adresse, selon qu'il est disposé à écouter car, une fois les mots prononcés, leur interprétation, les réactions qui en résultent et leur contrôle nous échappent! On marche sur des œufs.

Les dîners à l’école d’antan

Dans les années ’50, quand je fréquentais l’école du rang, tous les élèves allaient dîner à la maison, les plus éloignés ayant près d’un mille à parcourir. Oh! il était frugal chez-nous ce dîner. Une soupe ou un gruau, accompagné d’une tranche de pain, consistait notre menu et nous supposions que tous les enfants du rang mangeaient la même chose.