Nouvelle

Une centenaire à Palmarolle

Native de St-Joseph de Kamouraska, Bernadette est arrivée à Palmarolle en 1935 à l’âge de 11 ans. Elle et son mari ont possédé l’Épicerie Aubin de 1968 à 1987, qui fut vendue à Paul Lapointe et Luc Aubin.

Madame Bernadette a encore de très bonnes facultés cognitives, vit seule dans sa maison et possède encore, jusqu’à aujourd’hui le 25 précise-t-elle, son permis de conduire. Cependant elle a avoué sourire en coin ne pas le renouveler cette année…

Un éminent citoyen de Palmarolle nous a quitté

Monsieur Caron a été maire de son village pendant 30 ans. Parmi ses principales réalisations, citons notamment le réseau d’égout et d’aqueduc,  la Promenade Dagenais, la Bibliothèque ainsi que la salle de l’Âge d’Or, occupée par le Club Bon Temps.

La famille accueillera le public à la Coopérative funéraire le lundi 19 février, de 13h00 à 16h00.

Des Suisses se tapent le lac Abitibi

Le premier soir, un pépin est survenu quand la pompe du brûleur, une pièce d’équipement indispensable pour boire et manger, a cassé. Et malheureusement le brûleur d’appoint, au propane, devenait inutilisable à cette température largement sous zéro. Dès lors, ne restait qu’une seule possibilité : faire un feu, ce qu’ils ont du répéter jusqu’à leur retour.

Sainte-Germaine-Boulé remporte le prix Reconnaissance en verdissement

Lors du gala annuel des Fleurons 2023, tenu à Ste-Hyacinthe le 2 novembre dernier, sept nouvelles municipalités ont fait leur entrée dans la prestigieuse catégorie des 5 fleurons. Parmi celles-ci, on compte la municipalité Sainte-Germaine-Boulé. Depuis les trois dernières années, la municipalité d’Abitibi-Ouest a su fournir des efforts constants pour embellir durablement son milieu et la qualité de vie de ses citoyens.

Équipements Aubin dévasté par les flammes

Le directeur des opérations d’extinction, le sapeur Irénée Drainville, a mentionné avoir requis l’aide des pompiers de Ste-Germaine et Roquemaure. Une trentaine de sapeurs ont combattu les flammes et protégé les propriétés environnantes.

Par ailleurs, la brigade de Palmarolle tient à sensibiliser les citoyens aux dangers de trop s’approcher des lieux d’un sinistre. En plus de nuire au travail des sapeurs, des produits chimiques dangereux se consumaient lors de cet incendie. 

10 000 $ en dons pour les sinistrés du 4 juillet dernier à Palmarolle

Les sinistrés présents étaient la famille Karan, la famille Joël Veillette, sa conjointe Sabrina et leur fils Louan ainsi que Lorraine Parent. Vincent Boissonneault était toutefois absent, retenu par son travail.

C’est avec des émotions encore vives que les propriétaires de la Quincaillerie Palmarolle, Cindy Caron et Raphaël D’Amours, ont d’abord relaté les heures et les jours qui ont suivi le sinistre. Ce fut un difficile deuil autant pour les sinistrés que pour l’équipe de la Quincaillerie.