Souvenir d'enfance à Palmarolle

Voilà quelques questions qui effleurent mon esprit. Étendue sur mon divan, position que je nomme « ma posture Marcel Proust », mon regard se pose sur quelques toiles de mes amis peintres de l'Abitibi : Jocelyne Caron, Jannot Hamel, Aline Olscamp et Jeannine Provost. Ces tableaux représentent ceux et celles qui m'accompagnent à la fin du confinement.

Ouvre-boites

Il y en a qui vont prétendre que ce ne sont pas des antiquités, pas assez vieux. Eh bien oui et non! Tout ça fait partie d’une autre époque et je le constate par les personnes qui viennent voir mes bébelles. Avec l’arrivée de l’automobile arrive la pinte d’huile à moteur. Les premiers contenants étaient des bouteilles semblables à nos anciennes chopines de lait et d’autres comme nos pots Masson.

Mai, mois de l’arbre et des forêts

La mairesse Véronique Aubin, accompagnée de son conjoint Michaël et de sa fille Willa, était sur place pour superviser l’opération qui a permis à près de 300 citoyens de se partager quelque 1118 arbres.

Quand on sait qu’un seul arbre rendu à maturité capte environ 167 kg de CO2 par année, on peut présumer que ces 1118 arbres distribués et plantés ce printemps absorberont à terme 186 tonnes de gaz à effet de serre par an.

Youhou! anciens résidents de Palmarolle

Dans le but de diversifier son contenu, le Journal lance un appel à quiconque d’entre vous qui aurait envie de se joindre à son équipe de collaborateurs en rédigeant, mensuellement ou ponctuellement, des textes qui feraient le lien soit entre votre « exil » et votre appartenance à votre village natal, soit à des souvenirs ou encore des textes d’actualité tel que vous la voyez et la vivez dans votre milieu.

Bannière Desjardins