10 000 $ en dons pour les sinistrés du 4 juillet dernier à Palmarolle

Les sinistrés présents étaient la famille Karan, la famille Joël Veillette, sa conjointe Sabrina et leur fils Louan ainsi que Lorraine Parent. Vincent Boissonneault était toutefois absent, retenu par son travail.

C’est avec des émotions encore vives que les propriétaires de la Quincaillerie Palmarolle, Cindy Caron et Raphaël D’Amours, ont d’abord relaté les heures et les jours qui ont suivi le sinistre. Ce fut un difficile deuil autant pour les sinistrés que pour l’équipe de la Quincaillerie.

La puissance des mots

Il se pourrait qu'il ait raison... si tant est que sa pensée est claire et précise et qu'il trouve les bons mots pour l'exprimer... les bons mots, le bon ton, la bonne attitude, le bon moment, le bon éclairage, la bonne personne, les bonnes dispositions de part et d'autre... Ça n'a pas de fin. De toutes ces conditions dépend l'ouverture de l'interlocuteur à qui l'on s'adresse, selon qu'il est disposé à écouter car, une fois les mots prononcés, leur interprétation, les réactions qui en résultent et leur contrôle nous échappent! On marche sur des œufs.

Les dîners à l’école d’antan

Dans les années ’50, quand je fréquentais l’école du rang, tous les élèves allaient dîner à la maison, les plus éloignés ayant près d’un mille à parcourir. Oh! il était frugal chez-nous ce dîner. Une soupe ou un gruau, accompagné d’une tranche de pain, consistait notre menu et nous supposions que tous les enfants du rang mangeaient la même chose.

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