Chronique

VOYAGE...VOYAGE!

Les auberges-jeunesse étaient alors un refuge par excellence. Mon meilleur souvenir se rattache à celle de Baie-St-Paul, dans la colline où abondaient bleuets et panoramas grandioses... Me restent quelques savoureuses anecdotes, comme celle d'avoir été témoin des débuts du Cirque du Soleil, entre autres...

Essai pour un passage réussi à 2023

Sans exagération, certains ont attendu 36 heures pour retrouver l'usage du courant. Personne n'est à blâmer dans cet exercice qui nous renvoie face à nous-mêmes, en quête d'idées pour combler le vide qui s'immisce dans nos vies... nous rappelant à quel point nous sommes vulnérables, ficelés à nos confortables habitudes.

La puissance des mots

Il se pourrait qu'il ait raison... si tant est que sa pensée est claire et précise et qu'il trouve les bons mots pour l'exprimer... les bons mots, le bon ton, la bonne attitude, le bon moment, le bon éclairage, la bonne personne, les bonnes dispositions de part et d'autre... Ça n'a pas de fin. De toutes ces conditions dépend l'ouverture de l'interlocuteur à qui l'on s'adresse, selon qu'il est disposé à écouter car, une fois les mots prononcés, leur interprétation, les réactions qui en résultent et leur contrôle nous échappent! On marche sur des œufs.

Les dîners à l’école d’antan

Dans les années ’50, quand je fréquentais l’école du rang, tous les élèves allaient dîner à la maison, les plus éloignés ayant près d’un mille à parcourir. Oh! il était frugal chez-nous ce dîner. Une soupe ou un gruau, accompagné d’une tranche de pain, consistait notre menu et nous supposions que tous les enfants du rang mangeaient la même chose.

L'Action de Grâce

Sur la liste, vous avez coché tout ce qui devait être fait. Petit à petit, votre jardin a progressé. Vous vous êtes alimenté(e) à même les épinards, laitues, radis, fines herbes nombreuses et variées qui sont venues colorer votre assiette. Les courgettes se sont vite multipliées et vous les avez apprêtées de toutes les façons, de l'entrée au dessert, grâce à leur versatilité. Puis, vous avez pu apprécier les rabioles, l'ail, les tomates lentement arrivées à maturité. Mais ce qui importe le plus, ce pourquoi vous vous êtes surpassé(e) s'en vient.

Cent mille manières d'être vivant...

D'abord les petites fraises des champs puis, avant qu'elles ne disparaissent, les amélanches sont déjà là que suivent de près les framboises, les bleuets, les gadelles, le cassis, les groseilles, les pommettes et les prunes. Tous des incontournables pour lesquels on abandonne les jardins au profit du palais des délices... ou ne serait-ce pas plutôt les délices du palais? Rien ne surpasse en qualité ce divin prêt à manger et c'est pourquoi on balaie tout le reste du revers de la main pour faire de la cueillette en nature notre priorité.