Chronique

Souvenir d'un magnifique cadeau de Noël

En fait, je dois admettre que j'aime bien aussi contempler l'environnement dans lequel je vis. Le 23 décembre, il y avait une magnifique pleine lune qui éclairait le paysage féérique du temps des Fêtes qui commence pas à pas. Mon appareil ne me permet pas toujours d'immortaliser convenablement ce que l'œil perçoit. Je préfère garder en mémoire ce que ma vision m'offre de contempler que d'avoir une photographie «ordinaire».

Et si notre temps des Fêtes était «à l'année» ?

Le temps des Fêtes est aussi l'occasion de prendre le temps. Profiter de ce précieux temps qui échappe trop souvent à nos vies le reste de l'année. Ce temps qui nécessite un réveil matin, une planification de vie familiale sur un super calendrier. Ce temps qui se perd dans nos occupations de travail et de multiples obligations. Ce temps qui en fait, est le même à tous les jours, mais qui n'a pas la même signification à compter de la fin des classes jusqu'au retour en janvier.

Les objets ont une âme

L’objet patrimonial raconte davantage que l’objet de civilisation. Celui-ci, une fois mis en abyme, deviendra forcément lui aussi, avec le temps, un objet patrimonial chargé de sens. À celui qui le questionne, l’objet révélera le sens qu’on lui a donné au fil du temps. De prime abord, la fonction d’un objet ancien n’est pas toujours évidente. On l’aura oubliée. Dans ce cas, seul celui qui aura connu l’objet en question et qui l’aura utilisé pourra le ressusciter en en révélant le sens.

Dans cette étable...

C’était dans le temps des Fêtes quand voisin artiste s’est présenté à la fin du train du matin à l’étable où les six chèvres venaient d’être généreusement ravitaillées en foin dans les mangeoires et en eau fraîche dans les chaudières. Il souhaitait se laisser imprégner par l’atmosphère des lieux et retrouver, disait-il, la sérénité de son enfance. Cet artiste avait lui-même grandi chez son grand-père, là où il avait dû passer des heures à l’étable, à observer les animaux paisibles, loin des bruits de la ville.

Le grenier aux souvenirs

Savez vous que la première souffleuse a été inventée en 1925 par un Québécois du nom d’Arthur Sicard, de St-Léonard, Montréal?  Là on parle de grosses souffleuses mais si on parle de petites souffleuses à main, la première  serait apparue  en 1951, construite par la compagnie Toro des États-Unis.

Le grenier aux souvenirs

Ce poinçon à trous était fabriqué par la S.D.A. Co.Ltd.  de Galt Ontario, Shurly-Diétrich-Atkins. Il fait partie d’une série d’outils de marque Maple Leaf, fabriqués sous ce nom entre 1910 et 1931.

J’ai un problème avec cette outil car je n’ai jamais trouvé son vrai nom : mon beau frère appelait ça un « punch a trou». C’est bien, mais son vraie nom en anglais ?